En République Démocratique du Congo (RDC), la situation est tragique et explosive. Aux incertitudes politiques et à la très forte criminalité s’ajoute une situation dramatique pour des millions de citoyens privés de tout.
La RDC est le 10ème pays le plus pauvre du monde, 77% de la population vivant avec moins de 2$/jour.
800 000 congolais travaillent clandestinement dans les carrés miniers du Congo (RDC). Ces petits « creuseurs » sont les premiers travailleurs de l’ombre dans la chaine de nos téléphones portables.
Le chômage. La déscolarisation. La faim. Le difficile accès aux soins. À Bukavu, chef lieu de la province du Kivu Sud, précisément là où le Dr Mukwege a implanté sa fondation et son hôpital Panzi, des milliers de vulnérables cherchent à relever la tête.
Nous pouvons les aider !
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En partenariat direct avec la Fondation Panzi et l’hôpital du Dr Mukwege, ainsi qu’avec l’Université évangélique d’Afrique à Bukavu et la CEPAC, l’ONG Inter Développement et Solidarités accompagnera les porteurs de projets et les ONG partenaires en 2017 et 2018.
Grâce à la formation et au micro crédit nous allons permettre à 100 porteurs de projets (femmes victimes de violences sexuelles et personnes vulnérables) de développer une activité qui leur permettra de générer au bout de 6 mois des revenus financiers stables et réguliers.
Aider sans assister c’est accompagner vers l’autonomie, c’est restaurer la confiance en soi et la dignité.
Cette citation attribuée à Confucius s’applique parfaitement à ce projet : « Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. »
La formation donnée par Pierre Yérémian et l’ONG Inter Développement et Solidarités va « apprendre à pêcher » à ces 100 porteurs de projet, les micro crédits mettront une canne à pêche dans leurs mains.
Donnons à ces femmes victimes de violences sexuelles et à ces personnes vulnérables la possibilité de commencer une vie nouvelle.
Vous pouvez aussi contribuer à ce projet en partageant cet article à vos amis sur Facebook, Twitter ou par email. Vous pouvez aussi partager ce projet dans votre église locale, votre groupe de maison ou votre groupe de prière.
Ne tardez pas à participer, cette campagne de financement se termine le 20 octobre à minuit.
La rédaction